Soften

Genre rock, indie, seen live, pop, indie pop

Après s’être rappelé à nous avec un EP de 5 titres en juin, Soften revient
avec un nouvel album, Rocket Science . A nouveau seul maître à bord
après un deuxième album en groupe et toujours épaulé par Sacha Ruf-
fieux à la production, Nils Aellen démontre qu’il n’a rien perdu de sa voix
(toujours mélodieuse, toujours mélancolique) et de l’inventivité qui fai-
saient le charme de ses premiers efforts . On retrouve en effet au cœur de
ces enregistrements ce mélange entre les prises improvisées à la maison,
presque accidentelles, et la sophistication d’arrangements surprenants
et polis en studio . Une alchimie originale qui fut la ligne directrice d’un
projet de longue haleine, débuté dès fin 2010, voyant l’artiste multiplier
les allers-retours entre son appartement lausannois et le studio profes-
sionnel de son acolyte .

La démarche est mise en évidence dès Nightwatch, par son architec-
ture sonore étonnante, un titre d’ouverture marquant qui plonge l’audi-
teur dans un univers aussi personnel qu’attachant . La suite navigue avec
adresse entre fulgurances pop aux sursauts imprévisibles (Revenge,
Take the Blame, Bite the Bullet ou encore le très dynamique An Actor’s
Needs) et mise à nu (l’élégiaque Understated, la ballade acoustique
Fiery Romance et les déclarations intimes que sont Bruise, Battelfields
ou Intertwine) . Avec Rocket Science, Soften impose une écriture cou-
rageuse dans ses textes et ses chansons pour proposer quatorze titres
très aboutis et à la palette sonore riche . Une sensibilité et un savoir-faire
définitivement à part sur la scène helvétique


Source

Après s’être rappelé à nous avec un EP de 5 titres en juin, Soften revient
avec un nouvel album, Rocket Science . A nouveau seul maître à bord
après un deuxième album en groupe et toujours épaulé par Sacha Ruf-
fieux à la production, Nils Aellen démontre qu’il n’a rien perdu de sa voix
(toujours mélodieuse, toujours mélancolique) et de l’inventivité qui fai-
saient le charme de ses premiers efforts . On retrouve en effet au cœur de
ces enregistrements ce mélange entre les prises improvisées à la maison,
presque accidentelles, et la sophistication d’arrangements surprenants
et polis en studio . Une alchimie originale qui fut la ligne directrice d’un
projet de longue haleine, débuté dès fin 2010, voyant l’artiste multiplier
les allers-retours entre son appartement lausannois et le studio profes-
sionnel de son acolyte .

La démarche est mise en évidence dès Nightwatch, par son architec-
ture sonore étonnante, un titre d’ouverture marquant qui plonge l’audi-
teur dans un univers aussi personnel qu’attachant . La suite navigue avec
adresse entre fulgurances pop aux sursauts imprévisibles (Revenge,
Take the Blame, Bite the Bullet ou encore le très dynamique An Actor’s
Needs) et mise à nu (l’élégiaque Understated, la ballade acoustique
Fiery Romance et les déclarations intimes que sont Bruise, Battelfields
ou Intertwine) . Avec Rocket Science, Soften impose une écriture cou-
rageuse dans ses textes et ses chansons pour proposer quatorze titres
très aboutis et à la palette sonore riche . Une sensibilité et un savoir-faire
définitivement à part sur la scène helvétique


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Forever, Completely 2

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Nightwatch 3

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To the Woods 4

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Bite the Bullet 5

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Sabotage 7

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